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LA CLÉF DE TI SINA

 

 

La clef de TI SINA, un gémissement de Coeur qui se réveille, en suivant ces regards fous aux yeux fermés suspects rusés, pintades, des histoires sans historiens racontées coupées en rondelles de poésies, loin d’etre un essai un roman ou une nouvelle, qu’elle sera en mesure d’enmener le lecteur sur des plaines de Bonheur et de réflexions, la clef de TI SINA aura été vite compris par ceux- la qui ont évolué de près ou de loin dans un environnement haitien virtuel ou reel, physique ou télépathique.

 

C’est absolument cette même petite fille de la trempe de Sen Taniz décrite et racontée par le fameux Maurice Sixto dans son conte qui marquera pour des temps infinis les consciences haitiennes.

 

Cette petite fille (restavèk ) qui ne se lave Presque pas, non éduquée, misereuse utile, vache à lait colonisée dans les entrailles de sa mère , impuissante honteuse et gênée de dire non à l’agresseur, rappelle son agresseur qu’il a oublié de lui passer à tabac sexuel comme une plaie douleureuse douce, esclave d’elle même et des autres; sale, salissante son corps et son esprit et ses parties intimes relatives, malades, infectées, qui enrichissent, qui rapportent ,qui donnent du plaisir, qui cultivent labourent jusqu’à cette ultime orgie excessive surabondante débauchicratique, cette petite Sina sans estime de soi sans vanité, elle se réveille dans une courbe à 90 degré, Presque chavirée, monte au créneau avec véhémence sans réserve déclare à la presse en général, nationale internationale multinationale que sa petite chose, le trou du pillage du gaspillage du fourré main prend est cletté, vérouillé, sécurisé, cette petite chose gatée n’est plus libre et accessible à tout vaurien national ou international, l’alarme d’une conscience citoyenne responsable a sonné, ayant été installé ce code est jeté quelque part que seuls les vrais Haïtiens de Coeur sauront sans aucune forme de renseignement indigne de nos ancêtres, sans aucune communication extérieure lobbyiste, comprendront le sens de son orientation et de sa localisation.

 

La clef de Ti Sina semble devenir une philosophie de dire à l’autre, les mêmes nous mêmes encore, que nous ne sommes plus ces idiots enfoncés dans cette idiotie organisationnelle la plus totale de l’histoire, malgré nos turpitudes et nos mésententes intempestives que notre pourriture désormais possède une clef, c’est la notre, nous sommes fatigués de ces preneurs vautours, ces violeurs violateurs exploiteurs sans conscience normale sans humanité normale. Le temps était arrivé à temps, ce bout de viande enduit, ce foudangue(foudingue) de petite chose triomphe de la douleur, libéré, cassé, dans les gouffres anachroniques du fort de joux intérieur cataclysmique, parlant dans un à peu près ton de français jaunit non pas de giromon mais de joumou à l’aube du premier janvier 1804.

 

Cette clef dont nous parlons à qui s’adresse t-elle sérieusement?

À Moi très certainement, à ce moi universel, à ce moi laid, malade, saint et loup-garou, malfaiteur, terroriste, bandit, voleur, pute, homo, hétéro porteurs et inventeurs de maladies de toutes sortes, cet eternel cupide moi qui empêche, étouffer l’éclosion des ces rêves d’enfant.

 

Unilatéralement moi, ai droit de juger, de faire le mal, de mentir de convaincre (Dieu ); et d’être pardonné blanchi, les autres n’auront carrément droit à suivre mes préceptes, mes dictées mal conçues revêtues entrelassées de peaux d’hommes à croix pendentives et de femmes revêtues de robes voilées incitant toute notre vie à une cécité cognitive à dessein.

 

L’eternel moi ai droit de pécher de prêcher, les autres n’ont droit qu’à la souffrance, ne sont pas autorisés à pratiquer ni le bien ni le mal comme bon leur semble, des diabolos installés programmés dans des circonstances esclavagistes inhumaines et inhumanisantes jusqu’au niveau de la ceinture, des orgasmes éffrayés, déclitorisés, paniqués, léthargiques tremblants étouffant dans l’oeuf.

 

Chez nous le propriétaire du dessous est le propriétaire du dessus, ce n’est plus la mer à boire, le nègre en l’air fabrique ce qu’il veut parce que le nègre en bas ne grouille pas sa derrière; la rosée défile ouvre son corps potine déambule tant que le soleil n’ouvrira pas ses yeux impétables de géant.Voila la source, l’origine de ce langage de francais local normal normalisé anomique purement folklorique brasseur et dégageur.

 

Nous nous disons ceci mes amis envers et contre tous, tous, nous sommes les témoins occulaires probablement acteurs et actrices de cette fin de l’homme et de la femme, un culte parfait du faux, un mot qui n’est pas mauvais ici, très recommandé sous une forme professionnelle d’audace politico diplomatique et sociale; toutes les réponses sont nettes et claires devant nos yeux demeurant incompréhensibles dans nos têtes et dans nos pensées, des réponses menaçantes atypiques féroces.

 

La clef de Ti Sina se veut un messager amusant entrainant sympathique impartial palpable de dire, l’imbécile le retardé, dans la plupart des cas comprend plus vite que le génie qui se trouve sur tous les écrans de nos rancunes et de nos différentes indifférences de nature malicieuse acide assidue, comprendre et agir réagir dans les conditions normales ou anormales de température et de pression.

 

La clef du ciel se trouve nulle part l’inventer est simple trop simple, notre responsabilité la plus urgente et cette indispensabilité de prendre les voies de l’AMOUR, peut-être pas trop bien mais nous les connaissons toutes, à nous de répondre à cette magnifique auto invitation universelle nécéssaire qui ne serait autre que celle de nous débarasser de la dépouille de l’égo épais incontrôlable maniaque hitlérienne pour l’heure.

ces gens là ?

Les gens qui sont en affaires avec ces personnes là Mon Cher hum?

Le temps d’après ces messieurs passe, si le temps doit passer ils veulent passer avant le

Impressum

Verlag: BookRix GmbH & Co. KG

Tag der Veröffentlichung: 30.01.2015
ISBN: 978-3-7368-7449-7

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