INTRO
Personne ne serrai capable de dire si cette histoire c'est réellement passée ou pas. Est-elle le souvenir chimérique d'un ivrogne malheureux ou bien une légendaire aventure oubliée depuis longtemps ?
Je vais essayer, temps bien que mal, de vous narré l’histoire de
Jurane, L’oiseau-tonnerre.
Les cimes des pins se pliaient sous la force du cyclone. Un violent orage s'abattait sur la forêt "Laah". Le vent soufflait, la pluie battante arrachait les feuilles des chênes, les nuages gris assombrissaient tout et la foudre s’abattait sur le sol recouverte de mousse et de buisson venimeux. Les animaux fuyaient à toute allure. Les oiseaux luttaient contre la force du vent et les biches et cerfs sautaient par-dessus des troncs d’arbres renversés pour échappé à la pluie qui tombait si drue qu’elle en faisait mal. Les écureuils, renards, ours et serpents s’abritaient instinctivement sous de gros rochers.
Une silhouette humaine se tenait perchée en haut d’un Saul-Pleureur immense, les mains tendues en l’aire comme pour accueillir un ami, le sourire aux lèvres et les yeux caché par ses cheveux roux virevoltent dans tout les sens. C’était une jeune fille, elle était belle et sauvage. Sont accoutrement étais des plus basique. Un top sans manche vert foncé et une jupe en laine brune foncée était tenue par une épaisse ceinture en cuire. De ces oreilles pendait d'un côté une dent de renard et de l'autre côté une plaque faite d'or très fine. A son coup pendait un collier avec une petite amulette rouillée. Un lacet en cuire brun serrait son poignet. Quand à ses pieds ils étaient nus.
Elle ouvrit sa bouche et criait de toute ces force "Videam invisibilis
". Elle ferma les yeux un instant et les rouvrit. Ces yeux vert brillaient et un regard décidé pouvait s'y voire. Un point Blanc se détachait du ciel gris, prennent la forme d'un majestueux aigle royale géant. Son bec faisait au moins un mètre de long et ces puissantes ailes faisaient vibrer le sol. La pluie perlait sur ces plumes immaculées et ses yeux dorés étincelaient. Il ouvrit son bec et au lieu du glatissement habituel il en sortit un hurlement sourd. Ca ressemblait au hurlement des fauves, mélangés aux cris stridents des oiseaux affolés.
Tag der Veröffentlichung: 01.12.2011
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